Hatred Of Temptation
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 Köinzell Wyrm

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Köinzell Wyrm

Köinzell Wyrm


Nombre de messages : 51
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Clan/Métier: Windjial
Don: Ami du vent

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MessageSujet: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyDim 27 Juil - 18:12

♦ Nom Prénom : Wyrm Köinzell
♦ Age : 22 ans, tout juste
♦ Sexe : Masculin
♦ Race : Halfelin
♦ Clan/Métier : Windjial
♦ Don demandé : Ami du vent (Un 6ème sens qui permet à la personne de percevoir les murmures du vent comme des voix. Celles-ci peuvent le prévenir d’un danger, ennemis ou piège, ou bien de l’aider dans un combat et le prévenir de la direction d’une attaque. Cependant cela demande une très grande concentration en toute situation, il est donc très difficile de maîtriser ce Don, ce qui n’arrange pas Köinzell, qui n’a pas vraiment une concentration à toute épreuve. [ Transport des sons : permet de capter tout son, bruit, présent à proximité ])
♦ Equipement : Köinzell porte depuis son entré dans le clan une tenue de combat qu’il ne quitte jamais, quelque sois l’occasion, sauf si on le lui ordonne. Elle est composée d’un vêtement noir de jais assez près du corps, en deux parties : un au niveau du torse, l’autre, en tant que pantalon. Par-dessus ce vêtement, il porte un plastron léger, noir lui aussi, mais aux reflets d’ébènes. Pour compléter la protection, il porte sur chaque bras, un gantelet en acier allant du coude jusqu’au-dessus de la main.
Il est chaussé de longues bottes lui arrivant au-dessus des genoux, en cuir léger et souple. Une ceinture, taillée dans le même cuir lui ceint la taille. Tous deux ont été teintés d’un gris terne. À sa ceinture, il porte une lame en acier de Damas, une épée courte forgée par son père, dont il a remplacé la poignée courte, par une poignée plus longue destinée aux épées longues, devant être maniées avec les deux mains. Lui permettant ainsi de la manier avec une main ou deux, selon la situation.
Il possède aussi deux petits poignards en ivoires, dont il se sert d’un moyen peu conventionnel. Effectivement, les poignards servent de décoration la plupart du temps, au bout de ses nattes.
Mais attention, il n’hésitera pas à s’en servir…
Pour finir, il porte toujours une cape, de la même couleur que ses bottes. La cape est pourvue d’une capuche et de manches courtes, et ainsi évite à Köinzell de s’emmêler dedans lors des combats.

♦ Description physique : Köinzell dépasse « à peine » 1m47, ce qui fait de lui un grand halfelin. Il reprend les caractéristiques de sa race : oreilles pointues, légèrement plus décollé que la normal, des yeux rouges, en amande, qui vous donne l’impression d’être surveillé sans arrêt, voire provocateur. Pour accentuer ce sentiment de malaise, il possédait une cicatrice lui barrant l’œil gauche dans le sens de la hauteur.
La forme de son visage ressemble à celui d’un jeune halfelin, bien qu’il soit un adulte, mais celui-ci ne changera plus.
Contrairement aux autres individus de sa race, il assez expressif lorsqu’il est dans un environnement familier, cependant il retrouve le sérieux de sa race au-dehors, et perd le sourire qui apparaît parfois sur son visage.
Son corps est svelte, ne montrant aucune musculature apparente, accentué par son vêtement. Ses cheveux, très longs, lui arrive au niveau des genoux, il a bien essayé de les couper, mais ils repoussaient toujours à une vitesse affolante, pour reprendre leur longueur initiale, depuis il les coiffes et en fait 2 nattes qu'il orne avec les deux poignards d'ivoires; en plus de cette longueur surprenante pour un homme halfelin, la couleur des cheveux est elle aussi assez inhabituel: ils sont vert, pas vert vert, mais vert sombre, avec des reflets d’argent en fonction de l’éclairage présent. Cette couleur n’a rien de naturel, mais c’était le prix à payer pour son souhait.


♦ Caractère : Köinzell possède deux visages, l’un apparaît lorsqu’il se trouve dans un environnement familier : il laisse ses sentiments s’exprimer, parfois sérieux, parfois moqueur, généralement amical. Cet aspect de sa personnalité n’apparaît que très rarement, et seul certains « élus » l’ont vu, même au sein de son propre clan. Il revêt généralement son autre visage. Celui-ci est plutôt distant, sans un sourire, sauf pour ce moquer ouvertement de son interlocuteur. Il est froid et repousse toute approche des autres, il est associable en fait, car il ne fait confiance à personne, enfin pratiquement. Il se méfie de tout et de tout le monde, sans doute parce qu’il a été déçu par le passé par les personnes en qui il avait confiance, ses «amis».
Il est du genre à provoquer les autres, mais à laisser les autres le provoquer sans rien faire; ça l’amuse dirait certains, d’autres dirait que c’est seulement parce qu’il se sent vivre à travers leurs paroles des autres.
Cependant, même si il ne répond pas aux provocations, il est toujours prêt à relever un défi, même si c’est perdu d’avance.
Dans un combat, il provoquera toujours son adverse, pour le rendre furieux et le forcer à faire des bêtises, c’est la méthode qu’il à développé pour combler sa force assez faible par rapport aux guerriers forts. Cependant, si il fait perdre sa concentration à l’adversaire, il perd aussi la sienne lorsqu’il commence à prendre le combat comme un jeu…
D’un point de vue sentimental, il fait tout pour éviter de s’attacher à quelqu’un, et évite que quelqu’un s’attache à lui. C’est sans doute la blessure qu’il à subit par le passé qui la rendu ainsi. C’est pour lui d’autant plus difficile qu’il ne reste pas indifférent à une certaine personne, mais la peur de la perdre l’empêche de faire face à ses sentiments.

♦ Histoire :

Une enfance heureuse


Köinzell ne connaît pas ses parents, enfin, les personnes qui l’ont mis au monde. Tout ce qu’on sait, c’est qu’il a été découvert par un des forgerons d’Annenvial, devant la forge, avec seulement un mot : « Prenez soin de Köinzell ». Ce forgeron et sa femme ont élevé Köinzell comme leur propre fils, d’ailleurs, ils n’ont jamais eu d’enfant, mais Köinzell ne su jamais pourquoi. Qu’importe, il aimait cette vie auprès de ses parents adoptifs. À l’époque, il avait une apparence complètement différente, il était petit, mais ses cheveux étaient couleur paille, et lui arrivait à peine aux épaules, il possédait aussi des yeux d’un bleu pastel, où l’on pouvait voir une lueur brillée, sans doute l’énergie qui habitait son petit corps d’halfelin. Les amies de sa mère étaient toujours en admiration pour son visage, qu’elles disaient être le visage d’un ange. Un jour, il avait 8 ans, il entendit l’une d’elles dire que s’il était un peu plus vieux, elle ne saurait peut-être pas résistée à la tentation de tester ce jeune ange, Köinzell ne savait pas ce que cela signifiait, mais au vu d la réaction de sa mère, qui était parti dans une crise à faire fuir les soldats les plus courageux de la ville, cela ne devait pas être des paroles gentilles, enfin, c’est ce qu’il pensait à l’époque.

Il aidait son père à la forge, en prenant les commandes, ou en allant chercher de l’eau ou des matériaux pour les armes et armures. Il portait aussi les commandes finies aux clients.
Mais il aimait aussi passé du temps avec ses amis, des enfants du peuple comme lui, l’un était le fils du laitier, un autre, le fils du cordonnier, le dernier était le fils du boulanger. Deux filles les accompagnaient aussi, c’était les filles du tailleur, dont la plus jeune avait 2 ans de moins que le reste du groupe. Ils passaient le plus clair de leur temps à vagabonder dans la ville, à la parcourir de long en large et à provoquer les enfants des autres quartiers, c’étaient de vrais monstres diraient les habitants des autres quartiers, mais ils ne faisaient aucune bêtise dans le leur. Sans doute par peur de leurs mères et de leurs colères impitoyables. Ainsi était la vie de Köinzell.

Un patchwork de maître.


Lorsqu’il fut âgé de 11 ans, il commença à s’intéresser au travail de son père, il passa de plus en plus de temps dans la forge, à observer son père à travailler le métal, à donner une âme à ses créations. il était réputé pour ses lames de Damas, des armes composées d’un alliage de différents métaux en quantités différentes, ce qui donnait aux armes des reflets uniques, et une solidité à toute épreuve. Puis au bout d’un moment, il commença à s’intéresser aux clients, lorsqu’ils venaient chercher leur commande, ils prenaient du temps dans l’arrière-cour pour tester le travail de son père. Il observait leurs mouvements, et essayait de les reproduire après, mais en cachette, car ses parents lui défendaient de se battre. Apparemment, la guerre, entre les différents clans, ne les avait pas épargnée, c’est sans doute pour ça qui le lui avait interdit.
Cependant un soir, son père le surpris dans la cour, à répéter des mouvements. Il ne bougea pas, ne dit rien, et observa seulement son fils. Lorsque Köinzell s’arrêta pour rentrer, il se retrouva devant son père, il savait ce qui allait se passer, et attendit le coup en fermant les yeux.
- Suis-moi.
Il fut surpris par ses paroles, et obéit, il ne savait pas ce qui allait se passer, mais avança sans hésiter.
Ils rentrèrent alors dans la forge, et son père s’assit sur l’enclume martelée par les coups de marteau de son père.
- Je pensais que tu aurais obéi lorsque, avec ta mère, on t’a demandé de ne jamais pratiquer l’art du combat...
- Je suis désolé Père, répondit rapidement Köinzell.
- Tais-toi, dit alors son père d’une voix qu’il ne lui connaissait pas.
Je t’ai regardé pendant ton entraînement, et j’ai remarqué que tu arrivais à te débrouiller avec une arme, même si ce n’est qu’un bâton de bois. J’aimerais t’interdire de continuer, cependant j’ai l’impression que tu as un don pour le combat, donc t’interdire ce pour quoi tu sembles être doué ne me ressemble pas. Donc je t’autorise à pratiquer les armes, en cachette pour l’instant, tant que je n’aurais pas convaincu ta mère. C’est bien compris Köinzell ?
- Oui, Père.
- Une dernière chose, tu dois me promettre une chose.
- Qu’est-ce ? demandât le jeune garçon, prêt à promettre tout ce que voulait son père,
tellement il était heureux de pouvoir apprendre à manier les armes.
- Quel que soit la solution, jamais, au grand jamais tu n’ôteras la vie de quelqu’un,
même si c’est le pire démon qu’il soit. C’est bien compris ?
- Oui, je vous le promets Père.

Dès lors, il continua de s’entraîner dans la cour. Au bout de 2 mois, sa mère fut d’accord, à la seule condition que son père surveille l’apprentissage de Köinzell. Ce qui fût le cas, son père surveilla son fils, lorsque celui-ci mima les gestes des guerriers, lorsqu’ils venaient tester leurs armes. Parfois, certains guerriers donnaient même des cours au jeune Köinzell, qui dès lors suivait avec le plus grand intérêt. Mais du fait des nombreux styles de combat qu’il observât et dont il apprit seulement les bases, il n’eu jamais un apprentissage complet dans un style de combat.

Un jour, Köinzell avait 13 ans à ce moment, un homme passa à la forge, pour faire réparer son plastron dont une lame plutôt téméraire avait entaillée. En attendant que la réparation soit effectuée, il alla dans l’arrière-cour. Il vit alors Köinzell en train de s’entraîner à manier une épée en bois aussi grande que lui. Il s’approcha alors de l’enfant.
- Tu n’arriveras jamais à manier une telle épée dans un combat, gamin.
- Je ne suis pas un gamin, mais vous vous êtes un papi, répondit le jeune homme plein de provocation dans la voix.
- Effectivement, je suis plus tout jeune, mais j’ai sans doute plus d’expérience qu’un jeu chien qui n’as pas quitté sa niche. Dit l’homme d’une voix amusée. Toujours est-il que tu n’arriveras pas à combattre avec ce genre d’armes. Les Halfelins ont tendances à préférer les armes légères et peu imposantes pour combattre.
- Comme les épées courtes ? demanda alors le jeune homme, intéressé.
- Oui, comme les épées courtes, ou les poignards par exemple.
Dès lors, Köinzell posa toutes les questions qui lui venaient à l’esprit. Lorsque son père vint rendre l’armure au combattant, Köinzell était déçu que celui-ci parte. Cependant, l’homme lui offrit deux poignards, d'un ivoire blanc au reflet de nacre, en cadeau, sois disant il les trimballait depuis longtemps mais les utilisaient pas, mais il ne fallait pas être dupe, pour remarquer le regard attendrit du vieux combattant par rapport au jeune garçon...


_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

♦ Vos impressions sur le forum : Super forum, il est beau Wink
♦ Comment as-tu connu le forum : Par Elo ^^
♦ Autres : Qui sais ???


Dernière édition par Köinzell Wyrm le Lun 28 Juil - 14:01, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyDim 27 Juil - 21:01

2ème partie de l'histoire, un Post, c'est pas suffisant Wink


À l’aube d’un nouveau chemin : La goutte d’eau qui déclenche une tempête


Köinzell venait d’avoir 14 ans, et ses parents lui avaient posé une question dont il avait un an pour répondre. « Que voulait-il faire lorsqu’il aurait 15 ans ? »
Trois choix s’offrait à lui :
- Reprendre la forge de son père, et perpétuer la tradition familiale.
- Rejoindre le clan de l’eau, et vogué aux grès de ses envies.
- Rejoindre le clan de l’air, et être libre comme le vent.

Il devait bien l’admettre, mais il n’avait aucune idée de futur. Pour l’aider, il avait seulement sa connaissance du métier de forgeron, et les rumeurs sur les différents clans. Mais au final, il n’avait rien de concrets sur ceux-ci, seulement des idées pré-conçues...
Il partit donc à la recherche d’informations précises sur les clans, mais il était difficile de surprendre les conversations des membres des deux clans. Il développa alors un don pour la dissimulation personnelle, mais sans que celui-ci ne soit très développé. Il avait juste plus de facilité de se cacher dans les coins sombres, grâce à des vêtements sombres, ou faire semblant d’être concentré sur quelque chose, sans faire attention à son environnement.

Mais même ainsi, les rares informations dont il pu récupérer ne lui permettait pas de trancher sur son destin.
Dans trois mois, il allait avoir 15 ans, mais toujours aucune idée quant à son avenir. Un soir, après avoir livré une commande à un collectionneur d’armes à l’autre bout de la ville, il décida d’aller flâné sur la place de la capitale avant de rentrer.
Puis sur le chemin du retour, il vit des gardes de la capitale passés devant lui, en courant, recherchant apparemment des individus. Plus il s’approchait de chez lui, plus il y avait de gardes. Il arriva enfin devant les forges. Quelle ne fut pas sa surprise en voyant un grand nombre de personnes devant les forges.

Il se précipita alors, non sans avoir bousculé et écrasé bon nombre de pieds sur son passage, à l’intérieur de la forge. Ce qu’il vit alors restera à jamais graver dans sa mémoire. Les corps de ses parents, gisant par terre, complètement desséché, comme s’il n’y avait plus d’eau à l’intérieur. Toute sa vie s’écroula alors, son bonheur, son sourire, tout ce à quoi il tenait venaient de disparaître, sans laisser de trace. Seuls le désespoir, la colère, la souffrance, et la haine restaient. Il se laissa tomber à genoux en poussant alors un cri de désespoir que toutes les personnes dans les environs pu entendre. L’un des soldats qui connaissait bien Köinzell essaya de le relever et de l’emmener ailleurs. C’est alors qu’il lui dit :
- Rassure toi, on attrapera les meurtriers. Au vu de la cause du décès, on pense que c’est des Waylenns qui sont à l’origine du meurtre.
À ces paroles, la vengeance apparue alors dans les yeux de Köinzell, il s’extirpa de l’emprise du soldat, couru jusque dans la remise. En ce lieu, il trouva ce qu’il chercha, un amas de tissus, semblant protéger quelque chose. Son père lui avait dit qu’il lui donnerait l’arme qui s’y trouve lorsqu’il aurait 15 ans. Il découvrit donc l’objet des tissus. Devant ses yeux, se tenait une lame de Damas qu’il n’avait jamais vue. Elle était étincelante, ses reflets fessaient apparaître des arcs-en-ciel sur la lame. Après avoir, observé cette lame, il saisit la poignée, puis la brandit devant lui. Elle était légère, avec une prise en main parfaite. Il soupçonna alors son père d’avoir fait une poignée sur mesure. Il s’élança alors dehors, et percuta le soldat qui l’avait suivi, tous deux chutèrent, mais la rage qui connaissait à le submerger lui donnait des ailes, et il se releva rapidement, laissant le soldat, par terre, se demandant ce qu’il s’était passé.
Coïncidence, ou coup de chance, lorsqu’il déboula au-dehors de la forge, deux soldats échangèrent une info disant que les suspects, deux membres des Waylenns aillant un peu trop forcé sur l’alcool, auraient refusé de payer et causé cet incident. Ils auraient été vu traversant la porte des Sentiers des flots.
Köinzell se précipita alors, vers la porte menant au Sentier. Après cinq minutes de course effrénée à travers la ville, il arriva devant la porte, la traversa, et continu sa course, espérant arriver avant que les deux assassins, car pour lui, c’étaient bien eux les responsables, ne s’enfoncent dans les flots.

Il arriva finalement en haut de la colline, sans doute le dernier endroit où il pourrait les rencontrer, car après c’est une descente directe vers la Grève aux rêves. Apparemment la chance lui sourit, car devant lui s’étendait le chemin vers la Grève et au milieu du chemin, deux personnes avançaient, plus ou moins en ligne droite.
Il ferma les yeux, demanda pardon à son père, car aujourd’hui, il allait se battre pour tuer. Puis il s’élança, dévalant le chemin en hurlant de rage, les deux silhouettes lui firent face, mais s’écartèrent au moment où il alla porter son coup. Il en perdit l’équilibre et alla rouler par terre. Il essaya de se remettre debout, tant bien que mal.
Les deux hommes avaient dégainé leurs épées, qui auraient tranché le jeune homme sans aucune difficulté.
- Vous me le paierez, ce fut les seuls mots qu’il prononçât avant de se ruer de nouveau sur les deux hommes.
Avant que les trois combattant ne croisèrent le fer, un éclair noir passa entre les deux hommes, agrippa Köinzell, et ils disparurent tout les deux dans les bois du Sentier des flots.

La rencontre



- Il s’en est fallu de peu dis donc.
Köinzell cru reconnaître une voix féminine. Cependant, après son voyage plutôt inconfortable, et le fait qu’il est arrivé face contre terre, après avoir été projeté par la personne qui l’as attrapé, il avait perdu le sens de l’orientation et de l’équilibre, au point qu’il n’essaya même pas de se lever. Il resta par terre, essayant de voir qui venait de parler.
- Tu devrais pouvoir te relever dans un petit moment, c’est pas facile d’absorber le choc de la vitesse, mais on s’y fait rapidement. C’était bien une voix de fille, jeune apparemment. Enfin, tu es hors de danger, c’est le principal, enfin, je suppose. Mais quelle idée aussi de s’attaquer au clan de l’eau sans aucune expérience au combat.
- Je ne suis pas inexpérimenté. Répondit Köinzell, en colère. Pourquoi m’avoir empêcher de les tuer ? Je pouvais y arriver.
- Hahahaha, tu es marrant tu sais. J’adore les garçons comme toi. Mais jamais tu n’aurais pu les battre. Même ivre, ces hommes sont de très bons combattants qui aurait fait de toi un corps inerte, sans vie. Que diraient tes parents si ils apprenaient ce que tu avais essayé de faire ?
À la pensée de ses parents, le jeune garçon se mit à pleurer. Il sentit alors, la personne se mettre à genoux au niveau de sa tête, et l’aida à se retourner sur le dos. Les larmes lui coulaient sur les joues. Mais il ne distinguait pas distinctement le visage de cette personne, seule la couleur de ses cheveux lui était apparente, ils étaient noirs.
- Qu’est-ce qu’il y a ? demandât la jeune fille. Tu n’est pas mort, tes parents ne sauront sans doute rien. Alors ne pleure pas.
Il ne pouvait plus rester comme ça, et sans raison particulière, il raconta tout à l’inconnue.
Lorsqu’il eu fini son histoire, il sentit qu’un poids avait disparu. Il se mi alors en position assise. La jeune fille était allée s’asseoir sur une pierre derrière lui. Il se retourna, et observa la jeune fille. Elle devait avoir deux ans de plus que lui, peut-être trois, une chevelure noire, des yeux gris, et une tenue mettant ses formes en valeur, mais Köinzell ne s’était pas encore intéressé aux filles et donc restait plus ou moins indifférent à celle-ci.
- Je suis désolé, je sais ce que ça fait de perdre un parent qui nous est cher, mais au regard de ce que tu m’as dit, je ne pense pas que ce soit ce que tes parents auraient voulu. La vengeance n’est pas forcément une solution.
- Je sais, mais c’est plus fort que moi, répondit le jeune. Même si je déçois mon père, je les tuerais.
Il se laissa tomber en arrière, serrant la poignée de son épée, dont il n’avait à aucun moment desserré son étreinte. Il la lâcha, tendit sa main au-dessus de sa tête et referma le poing.
- Mais j’en suis incapable, car je n’ai pas la force nécessaire. Il eu un moment d'hésitation, puis continu. On dit que si on prie le dieu du Désordre lors de nos 15 ans, on peut acquérir une force emplit de haine et de rage.
Il ne savait pas si c’était une bonne idée, mais il le ferait, c’était la seule solution à ses yeux.

La jeune fille respira profondément, puis d’une voix douce lui dit :
- Il y a d’autres solutions que de sombrer dans le Chaos pour arriver à tes fins. Le clan de l’air en est l’une d’elles. Tu disais que tu hésitais à rejoindre l’un des deux clans, pourquoi donc ne pas rejoindre le clan de l’air.
- Je recherche la force d’écraser les assassins de mes parents. Je ne veux pas seulement être capable de faire des pirouettes en l’air.
La jeune fille prit alors une mine renfrognée.
- On sait se battre, si c’est ça qu’y te préoccupe, dit-elle avec une voix pleine de reproche. On n’est pas en guerre pour rien. Le vent peut-être calme, amical, mais lorsqu’il déchaîne sa puissance, il emporte tout ce qui se dresse sur son passage.

Le garçon ne paraissait pas convaincu, mais la jeune fille ajouta :
- Mais ça tu ne pourras le croire que si tu le vois, n’est-ce pas ? Je pourrais te le montrer, mais que si tu fais le choix de nous rejoindre.
Elle se leva et tourna le dos au garçon.
- Réfléchis donc à ce que je t’ai dit. Dans 5 jours, je serais assise à la fontaine de la capitale, à 17 heures. J’y resterais jusqu’au coucher du soleil. Peut-être reverrais-je alors un visage adorable.
Un sourire malicieux était apparu sur son visage, mais ça, le garçon ne pouvait le voir.
Elle partit alors, mais du fond de la forêt, Köinzell entendit un murmure.
- Au fait, je me nomme Emerance.


Plus qu'un paragraphe, mais ça sera demain Wink
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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyMar 29 Juil - 11:29

Aller hop dernière partie ^^

Le choix d’une vie : un présent incertain…


Après sa rencontre avec la jeune fille, il rentra chez lui, non sans avoir du donner quelques explications aux gardes sur son comportement de la soirée, notamment sa course folle à travers la ville en brandissant une épée…
Lorsqu’il pu rentrer dans la forge, les corps de ses parents étaient recouverts d’un linge blanc, en attendant que le croquemort ne vienne, pour emmener les corps au temple, pour la cérémonie funéraire.
Il s’écoula trois jours avant la cérémonie. Ce fut aussi le dernier jour où il vit le visage des ses parents. Les prêtres avaient essayé tant bien que mal de réhydrater le visage de ses parents, pour leur redonner une apparence normal. Et il leur en étai reconnaissant.

Sur le chemin du retour, il prit des petites ruelles sombres des quartiers malfamés. Il tomba alors sur une boutique miteuse qui attira son attention, grâce à la pub qui s’étalait sur la vitrine. Il y entra, car il venait d’avoir une idée, peut-être serait-ce la plus grosse erreur de sa vie, mais tant pis.

Deux jours plus tard, sur la grande place de la capitale, on pouvait voir une jeune fille assise sur le bord de la fontaine. Elle semblait attendre quelqu’un ou quelque chose, mais elle ne laissait pas indifférente les jeunes hommes qui passaient devant elle. Elle en profitait alors pour exposer ses atouts pour voir la réaction des jeunes, qui la plupart du temps se retournaient pour « fuir » l’envie qui montait en eux. Cela avait l’air de bien amuser la jeune fille.
Alors que le soleil commença à se coucher, la jeune fille semblait déçue, et se préparait à partir, lorsqu’elle remarqua qu’un individu la surveillait. Cet individu était assez loin, et caché dans un vêtement clair. Celui-ci commença alors à avancer vers elle. Il était à quatre, cinq mètres lorsqu’il s’arrêta.
- Excusez moi, je ne savais pas quoi faire, ni quoi décider.
La jeune fille ne compris pas tout de suite ce que cette personne lui voulait. Et elle allait le renvoyer lorsqu’il retira sa capuche. Un jeune halfelin se tenait devant elle. Il était jeune, les yeux pourpres, virant un peu au rouge vif, les cheveux étaient gris, mais des mèches vertes argentées apparaissaient par endroit. Mais ce qui aurait pu paraître normal, était accompagné par une balafre parcourant le coté gauche du visage. Si Emerance n’avait pas reconnu le visage par son aspect, elle reconnu le jeune homme par la forme du visage, et finalement, elle avait fait le rapprochement avec la voix.
- Que t’es-t-il arrivé ? demanda-t-elle, l’air surprise, mais aussi inquiète.
Köinzell détourna la tête, pour éviter de croiser le regard interrogatoire de la jeune fille, et répondit d’une voix dépourvu de tous sentiments:
- Vous m’avez dit de vous rejoindre ici, si je voulais voir la puissance du clan du vent.
La jeune fille, se remettant de sa surprise, compris qu’elle n’aurait pas plus de renseignements pour l’instant. Jouant alors le jeu du jeune homme, elle prit une voix autoritaire :
- Très bien, suis-moi. Elle se leva et commença à marcher, en ajoutant d’une voix amusée cette fois. Si tu peux.
Elle partie alors en courant, en direction de la porte menant au Sentier des vents. Surpris par le départ rapide de la jeune fille, Köinzell s’élança à sa poursuite. Bien qu’arrivant à la suivre du regard, l’écart entre les deux jeunes se creusa petit à petit, de plus ; Emerance était aussi plus agile que lui, et arrivait à se mouvoir sans aucune difficulté au travers de la foule plus ou moins dense.
Arrivé à la porte, Köinzell avait perdu de vue la jeune fille, mais il s’aventura sur le sentier qui s’offrait à lui. Il parcouru quelques centaines de mètres et arriva à hauteur d’un petit chemin de terre qui s’éloignai du sentier principal.
- Tu n’es pas très rapide dis donc, et tu devrais apprendre qu’il ne faut pas faire attendre une belle jeune fille comme moi. Ou alors c’est moi qui suis trop rapide. Cette phrase fut ponctuée par un petit rire.
Köinzell regarda alors dans la direction d’où venait le rire. La jeune fille était assise sur une souche. Mais ne laissant pas le temps à Köinzell de souffler, elle s’enfonça dans la forêt à travers le chemin de terre. Il n’eu d’autre choix que de suivre la jeune femme.
Au bout d’une vingtaine de minutes de marche, ils débouchèrent sur une petite clairière, éclairée par une lumière filtrée par les arbres centenaires qui la bordaient.
Emerance s’arrêta au milieu de la clairière et fit face à Köinzell.
- Très bien, donc tu voulais voir la puissance de l’air, tu vas être servit mon petit.
Avant même que Köinzell ne puisse prononcer un mot, une mini tempête s’était abattue sur la clairière. Köinzell ne ressentit pas cette tempête comme étant naturelle : la pluie et le vent étaient comme habités par la rage. Il avait l’impression d’être dans une de ces tempêtes que craignent les agriculteurs, car elles détruisent toutes les récoltes de la saison en quelques heures.
Au bout de trois minutes, Köinzell était trempé jusqu’aux os, arrivait tant bien que mal à tenir debout, à cause du vent. La tempête s’arrêta alors comme elle était venue. Le jeune homme pataugeait dans la boue et regarda alors Emerance. Celle-ci se tenait devant lui, parfaitement sec, le sol à ses pieds était tout aussi sec, comme si elle s’était trouvée dans l’œil de la tempête.
- Ce n’est qu’un aperçu du pouvoir que j’ai reçu en intégrant le clan de l’air. Mais je pense que cela suffira à te faire changer d’avis. N’est-ce pas ?
- Qu’est-ce qu’il s’est passé ? demanda Köinzell, « légèrement » recouvert de boue. Même s’il connaissait la réponse, il n’osait pas imaginé que ce qu’il venait de voir était un pouvoir qu’il pourrait acquérir.
- Alors, maintenant que j’ai répondu à ton désir, que va tu choisir ?
Köinzell se mit à genoux, et se baissa face à Emerance.
- S’il vous plait, devenez mon maître et apprenez-moi à me battre. En échange, j’exécuterais tous les ordres que vous me donnerez.
Cette fois ci, Emerance ne pu cacher sa surprise. Elle devait s’attendre à tout, sauf à ça. Elle resta sans réagir pendant quelques instants. Puis essayant de reprendre son air habituel, elle scruta le jeune garçon se tenant devant elle, il était déterminé, bien plus qu’elle n’aura pu l’imaginer, mais aussi intéressant.
- Es-tu sur de toi ?
- Oui. Répondit-il presque aussitôt.
- Très bien, donc si j’accepte, tu feras tout ce que je t’ordonne.
- Oui.
Un sourire malicieux apparu alors sur le visage de la jeune fille.
- Voyons voir, donc ma première demande sera simple. Pourquoi as-tu cette apparence maintenant ?
- Très bien. Le jeune garçon se redressa. J’ai fait une promesse à mon père, jamais je ne tuerais un être vivant. Mais pour accomplir mon souhait, la mort deviendra mon destin, qui finira dans ma mort. Cependant, je ne peux pas trahir ma promesse.
Le jeune garçon leva la tête, regardant le ciel dégagé de tout nuage…
- Cependant, si je devenais une autre personne, alors je pourrais tuer sans avoir de remord. Peut-être que cela peut vous sembler bizarre comme logique, mais elle me suffit pour survivre. C’est ainsi que j’ai trouvé une boutique vendant diverses potions, aux effets plus ou moins dangereux. Là-bas, j’y ai acheté une potion qui à la faculté de modifier la couleur des yeux, et des cheveux. En contrepartie, elle bloque le processus de croissance. Même si pour un halfelin, la croissance s’arrête très tôt, mon visage restera celui d’un jeune halfelin, au moins jusqu’à l’âge adulte. Voilà, vous savez tout…
Hum intéressant, un homme à l’apparence éternellement jeune pensa la jeune fille.
- Et la cicatrice ?
Köinzell hésita.
- Cela vous paraîtra encore plus étrange, je pense. Mais j’avais honte d’avoir voulu briser la promesse fait à mon Père. Je me suis donc infligé cette blessure pour me souvenir de mes erreurs. Elle est aussi la marque de ma nouvelle vie.
- Puisque tu a l’air de tenir tes engagements, je tiendrais les miens. Je t’entraînerais pour qu’un jour tu puisses accomplir ta vengeance.

Le chemin d’une nouvelle vie…



Depuis ce jour, Emerance entraîna Köinzell sans relâche, le poussant parfois dans ses dernières limites. Lui apprenant tout ce que son maître lui avait enseigné. Pour Köinzell, c’était tout nouveau, il était habitué aux voyageurs qui lui apprenaient deux, trois bases, et c’était tout. Il apprit, en plus de l’art du combat, la rigueur et la discipline, la concentration fit aussi partie de son apprentissage, même si il a du mal à rester concentré dans un combat...
A ses quinze ans, il rejoignit les Windjials. Lors de la cérémonie, il reçu un don assez particulier, il devint un Ami du vent, une personne capable d’entendre les voix du vent, qui l’aideront à tout moment. Mais cela demande une grande concentration, dans la vie courante, ça peux aller, mais dès que la situation fait appel à toute l’attention de Köinzell et de ses sentiments, il lui est difficile de se concentrer pour entendre les voix.
Depuis, on peut le voir dans l’ombre d’Emerance, obéissant à ses moindres désirs sans rien dire. Dans un premier temps, on l’appelait l’Ombre d’Emerance, mais depuis qu’elle est devenue conseillère, on le nomme le Chien de guerre de la Conseillère. Titre peu flatteur, mais Köinzell s’en moque, il ne fait que respecter sa promesse et cela lui suffit. Il a subit un entrainement d’assassin en parallèle, pour effectuer des missions nécessitant de la discrétion, missions facilité par son don, mais parfois qui finissent par devenir un beau bordel, du fait de son caractère provocateur et qu’il adore s’amuser au dépend de ses victimes. Des fois, voir souvent, ça tourne à son désavantage, mais il arrive à s’en sortir avec plus ou moins de blessures, plus ou moins importantes aussi...

Voila maintenant 7 ans que Köinzell est au service d’Emerance, il n’a pas changé physiquement, mais intérieurement, il est devenu un homme. Il ne reste plus indifférent aux femmes, mais refuse de s’y attacher, par peur de voir son passé ressurgir. Certains disent qu’il y a un sentiment d’amour entre lui et la Conseillère, Köinzell pour sa part dirait plutôt que ce lien, même s’il s’y approche, n’est pas de l’amour, mais plutôt un besoin l’un de l’autre : lui a besoin d’Emerance, car elle lui donne une raison de vivre ; elle a besoin de lui, en tant qu’homme de confiance, car sa position ne lui permet pas de pouvoir faire confiance à tout le monde.
Cependant au fond de lui, Köinzell ressent quelque chose qu’il ne connaît pas vis-à-vis de la jeune femme…
Il voudrait bien savoir ce que c’est, mais pour l’instant, il n’a pas le temps de penser à ça, car une puissance inconnue semble grandir de plus en plus sans que qui qu’on que ne sache qui elle est, ou du moins ce qu’elle est…

Seul le futur nous dira ce qu’il adviendra de Köinzell…
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Köinzell Wyrm

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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyMar 29 Juil - 11:55

Voila fiche finie...

En me relisant, je trouve que c'est parfois un peu bizarre, mais je préfère vous laisser juger...


(*se demande s'il doit pas rajouté que c'est un descendant de Jeanne d'Arc [bah oui il entend des voix, c'est pas communs], qu'il est schizophrène [deux visages, aux personnalité un peu différentes...] et atteint mentalement [faut pas être sain d'esprit pour prendre des potions aux effets bizarre et s'infliger une balafre à l'œil...])

J'espère aussi que c'est pas trop long ???? Köinzell Wyrm 49863
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Laodens
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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyMar 29 Juil - 12:22

Ouf, fini.

Déja, si c'est bien de la seule, l'unique Emerance, elle est d'accord pour l'utilisation de son perso ? ^^
Ensuite, le don d'emerance tel que tu le présente est trop limitatif : c'est un don à part entière ça, et un don puissant qui plus est. Vu qu'elle n'a pas encore choisi son don, tu ne peux pas lui en inventer un comme ca ^^

A part ça, je crois que ta fiche est parfaite ^^
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Emerance Tintallë

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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyMar 29 Juil - 12:30

Laodens >> Je lui ai donné mon accord, et si, j'ai choisis mon don Wink

Demande à Marine Razz

Je lui en ai parlé =)

J'en ai aussi parlé à Mia pour la fiche etc Wink
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Ulrich Windjial
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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyMar 29 Juil - 12:38

~ Fiche validée ~

Quelques liens utiles pour la suite de ton parcours :
¤ Marché au RP , pour organiser tes RPs.
¤ Bureau des requêtes, pour toutes tes demandes ou trouver un parrain (100% biologique !).
¤ Et le plus important : l'Antre du Flood, pour te présenter, et venir flooder avec nous.

Bienvenue alors Wink
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Emerance Tintallë

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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyMar 29 Juil - 13:02

Bienvenue parmi nous mon Koin Koin adoré Köinzell Wyrm 91253
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MessageSujet: Re: Köinzell Wyrm   Köinzell Wyrm EmptyMar 29 Juil - 13:47

Moi j'ai juste suivi les ordres de la ...... euh ....... on va dire Emerance, c'est tout Wink

Après si il faut modifier quelque chose, je le fais.



!!!Attention Kanard méchant!!!
*Mord Emerance*
"Encore une victoire de Kanard"
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